Peut-on y faire quelque chose ?STRESS, MALADIES ET BLESSURES
Aujourd’hui, lorsque le corps est mal en point, c’est la médecine qui le traite. Mais la médecine d’aujourd’hui néglige presque totalement la relation qui existe entre l’être spirituel et son corps, et l’effet que le premier peut avoir sur le second. En réalité, après un traitement médical nécessaire, l’individu lui-même possède une immense capacité à influer sur son corps et sur son bien-être ou mal-être physique. Ron Hubbard a développé de nombreuses applications de ses découvertes pour traiter les aspects mentaux et spirituels des problèmes physiques des gens. Et alors que le nombre de techniques mises au point continuait de s’accroître, une nouvelle technologie voyait le jour et entrait en application : les « Procédés d’assistance ». Ces Procédés d’assistance s’appliquent à mille et une situations. Ils sont toujours bénéfiques et souvent produisent même des résultats miraculeux. Il existe aujourd’hui des dizaines de Procédés d’assistance adaptés à toutes sortes de conditions. En Scientologie, l’expression procédé d’assistance désigne une action entreprise pour aider une personne à faire face à des difficultés d’ordre physique. Si un enfant tombe ou se blesse, un procédé d’assistance peut l’aider à surmonter ce traumatisme. Quand une personne a mal aux dents ou s’est fait arracher une dent, il existe un procédé d’assistance pour soulager sa douleur. Lorsque quelqu’un est malade, on peut utiliser des procédés d’assistance pour atténuer son inconfort et accélérer sa guérison. On peut même agir sur les fractures avec des procédés d’assistance. Ainsi, grâce à l’application de ces « procédés d’assistance », on peut améliorer ces conditions physiques et bien d’autres encore. Un procédé d’assistance est donc un procédé de Scientologie destiné à soulager un problème physique présent. Par procédé, on entend une série d’instructions exécutées dans un ordre donné ou une suite d’actions entreprises pour obtenir un résultat désiré. On trouve beaucoup de procédés dans les écrits de Scientologie, mais les procédés d’assistance en représentent une catégorie particulière. Tous les procédés de Scientologie ont été conçus pour résoudre le vaste éventail des conditions qui affectent l’esprit, l’être lui-même.
La plus grande découverte de la Scientologie et sa plus puissante contribution à la connaissance de l’humanité est sans doute d’avoir réussi à isoler, à décrire et à traiter l’esprit humain. Avec la Scientologie, il est possible de démontrer que cette chose qu’est la personne, la personnalité, peut se détacher du corps et du mental à volonté, sans provoquer ni mort physique, ni dérangement mental. Une importante controverse a traversé les siècles au sujet de l’esprit humain ou de l’âme, et diverses tentatives visant à contrôler l’homme ont été effectives en raison de l’ignorance presque totale que l’homme avait de sa propre identité. De même que vous savez où vous vous trouvez en ce moment même, vous le sauriez de la même façon si, en tant qu’esprit, vous étiez détaché de votre mental et de votre corps. Si l’homme n’a pas découvert cela auparavant, c’est que, ne possédant pas les technologies de Scientologie, il n’avait que très peu de réalité sur cette possibilité de se détacher du mental et du corps, et par conséquent croyait être lui-même, du moins en partie, un mental et un corps. Tout le culte du communisme reposait sur l’affirmation qu’on ne vit qu’une fois, qu’il n’y a pas d’au-delà et que l’individu n’a aucune signification religieuse. L’homme, dans son ensemble, est resté proche de cet état, au moins depuis le siècle dernier. Cette condition est très basse dans la mesure où elle exclut toute reconnaissance de soi-même. En Scientologie, le thétan (l’esprit) est décrit comme n’ayant ni masse, ni longueur d’onde, ni énergie, ni temps, ni localisation dans l’espace, si ce n’est de par sa considération ou son postulat. (Un postulat, en termes simples, est une décision que quelque chose va se produire.) L’esprit n’est donc pas une chose. C’est le créateur des choses. En employant des méthodes spirituelles — aussi précises cependant que les mathématiques — la Scientologie peut remédier à une foule de conditions fâcheuses de la vie. Les maladies et les dysfonctionnements peuvent être divisés en deux catégories générales. Premièrement, ceux qui résultent de l’influence directe de l’esprit sur les réseaux de communication de la vie ou du corps et, deuxièmement, ceux qui sont occasionnés par des lésions de l’organisme dues à des causes d’ordre purement physique. Le terme psychosomatique signifie que le mental rend le corps malade ou désigne des maladies qui ont été créées dans le corps par un dérangement du mental. Psycho désigne le mental et somatique désigne le corps. Il est possible de démontrer qu’une personne n’est pas son corps, mais est en réalité un être spirituel, appelé Thétan en Scientologie.
Nous avons donc le domaine de la médecine qui s’occupe des blessures immédiates, des interventions chirurgicales comme dans le cadre de naissances ou d’infections aiguës, des lésions telles que des contusions et des écorchures dues à des accidents ; elle se charge également d’administrer des médicaments ou des antibiotiques pour éviter les risques de décès du patient dans les moments de crise. C’est là le rôle de la médecine. Lorsqu’une prédisposition à la maladie ou aux blessures existe, lorsqu’une maladie ou une lésion tarde à guérir, ou quand malheur et soucis provoquent des perturbations mentales ou physiques, on entre là dans le domaine de la Scientologie. Car pour mieux guérir ou prévenir de telles manifestations ou y remédier, il est plus efficace de s’adresser directement et immédiatement au thétan et à sa capacité d’agir sur le corps. Le seul véritable agent thérapeutique de cet univers est l’esprit. En Scientologie, ceci a été démontré de façon plus approfondie, et se manifeste avec plus de certitude que les sciences physiques et les mathématiques elles-mêmes. Un scientologue peut rendre un individu heureux et en bonne santé en s’adressant simplement à l’esprit humain. Les blessures, les opérations chirurgicales, les accouchements, les maladies graves et les périodes de choc émotionnel intense méritent tous d’être traités au moyen de procédés d’assistance complets et bien appliqués. Les procédés d’assistance n’interfèrent en aucun cas avec le rôle de la médecine. Quand cela s’avère nécessaire, il faut avoir recours aux examens et diagnostics médicaux, et là où les traitements médicaux produisent régulièrement de bons résultats, on devrait les recevoir. Étant donné que les effets d’un procédé d’assistance peuvent parfois dissimuler une véritable blessure ou même une fracture, on ne devrait pas prendre de risques, surtout si la blessure ne s’améliore guère. Autrement dit, si l’on pense qu’il s’agit simplement d’une légère foulure, pour ne pas prendre de risques, on ferait bien de s’en assurer en faisant une radio, surtout si la blessure ne montre pas d’amélioration immédiatement. Les procédés d’assistance ne remplacent pas les traitements médicaux, et ne sont pas des tentatives pour guérir les blessures qui requièrent des soins médicaux : ce sont des soins complémentaires. On peut même douter que le recours exclusif à un traitement médical suffise à entraîner une guérison complète, et il est certain que les procédés d’assistance accélèrent considérablement le rétablissement. En bref, il faut savoir qu’un traitement physique ne tient pas compte de l’être ni des répercussions que la condition physique peut avoir sur l’existence spirituelle de la personne.
Les procédés d’assistance s’adressent aux causes de la prédisposition, de la précipitation et de la prolongation. De toute évidence, la vie n’est pas très supportable pour celui qui est blessé ou malade, pour la femme qui vient d’accoucher ou pour celui qui vient de subir un choc émotionnel grave. Et il n’y a aucune raison qu’une telle personne reste dans un état de faiblesse pendant des semaines, des mois, voire des années, alors qu’un procédé d’assistance pourrait l’aider remarquablement à se remettre en quelques heures, quelques jours ou quelques semaines. C’est en fait faire preuve de cruauté que de laisser, par négligence, une personne dans un tel état, alors que l’on peut apprendre, mettre en pratique cette connaissance, et faire en sorte que la personne soit soulagée. On n’a pas besoin d’être médecin pour emmener quelqu’un chez un médecin. On n’a pas non plus besoin d’être médecin pour constater, le cas échéant, qu’un traitement médical n’aide pas le patient. Enfin, on n’a pas besoin d’être médecin pour résoudre les choses provoquées spirituellement par l’être lui-même. De même que la guérison possède deux facettes, la guérison spirituelle et la guérison physique ou structurale, il y a deux états qui peuvent être atteints spirituellement. Le premier pourrait être qualifié d’« humainement tolérable ». Les procédés d’assistance se rapportent à cette catégorie. Le second est « spirituellement en meilleure condition ». Tout ministre, au sens religieux du terme (et cela a toujours été vrai depuis qu’il existe un sujet appelé religion), est tenu de soulager ses semblables de leurs tourments. Il existe maintes façons pour un ministre d’y parvenir. Administrer un procédé d’assistance ne signifie pas qu’on s’engage dans l’art de guérir. Et il ne s’agit certainement pas d’un traitement à proprement parler. La fonction du procédé d’assistance est d’aider l’individu à se guérir lui-même ou à être guéri par quelque autre traitement en éliminant les raisons qui le poussent à précipiter ou à prolonger sa condition, et en atténuant sa prédisposition à se faire encore plus mal ou à rester dans une condition intolérable.
Bref, les procédés d’assistance procèdent entièrement et strictement du domaine de l’esprit, et relèvent traditionnellement du domaine de la religion, même s’ils ne sont pas limités exclusivement à la religion. Celui qui applique la technologie des procédés d’assistance devrait mesurer le pouvoir qu’il a entre les mains et la compétence potentielle que lui confère sa formation. Voici ce qu’il peut faire quand il se trouve confronté à la souffrance : il peut rendre la vie supportable. Il peut également hâter un rétablissement ou même rendre un rétablissement possible qui ne le serait guère autrement.
ON PEUT Y FAIRE QUELQUE CHOSE ! |